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CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE

Publié le par le boulanger du 54

Unic était un constructeur français de voitures de tourisme et de camions très réputé. Unic a également produit des autocars. Malgré le succès rencontré sur le marché français (il n'y avait quasiment aucun produit exporté à cette époque), la société UNIC doit son équilibre financier aux bons vouloirs du baron Henri de Rothschild. Son décès en 1947 survient alors que le redressement indispensable après les dommages causés par la Seconde Guerre mondiale aurait nécessité de lourds investissements. Fragilisé comme ses concurrents français — Saurer France et Talbot — la direction d'Unic doit se résoudre à céder la société. Unic est racheté, tout comme Saurer France et Talbot en 1952 par Henri Théodore Pigozzi, alors patron de Simca, qui a toujours été soutenu financièrement par la famille Agnelli. Unic S.A. sera ensuite intégré dans Fiat V.I. en 1966 puis dans le groupe Iveco lors de sa création en 1975. La marque commerciale disparait en 1984. En 1984, l'usine de Trappes qui assurait la fabrication depuis 1975 des véhicules spécifiques Unic et des modèles Fiat pour le marché français sera transformée en magasin de pièces de rechange à la suite du rejet de la participation d'Iveco Unic à un appel d'offres de l'armée française, car celle-ci ne souhaitait pas de moteurs (Fiat) produits à l'étranger sur ses camions. Celui a été photographié au musée du train de Mulhouse .
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE
CAMION UNIC V8 IZOARD CABINE AVANCEE

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GRUE GRIFFET

Publié le par le boulanger du 54

GRUE GRIFFET
GRUE GRIFFET
Photographiée au musée du train de Mulhouse Les grues automobiles Griffet ont fait partie des paysages industriels pendant plusieurs décennies. Les modèles utilisés par la SNCF étaient, il n’y a pas encore si longtemps que cela, de précieuses auxiliaires dans toutes les gares de marchandises, petites ou grandes. - Elles assuraient la manutention des conteneurs et de toutes les charges ne pouvant être descendues à bras d’homme des wagons. - Elle est facilement reconnaissable avec son carénage avant caractéristique qui dissimule en réalité une roue de secours . L’entrée d’air du radiateur du moteur passe au centre de celle-ci, dissimulé derrière le sigle SNCF entrelacé. Ce modèle est doté d’un double poste de conduite.

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CAMION FORAIN RENAULT AFKD

Publié le par le boulanger du 54

- Vu au musée du train de Mulhouse

CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD
CAMION FORAIN RENAULT AFKD

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CAMION PATHE MARCONI

Publié le par le boulanger du 54

La pièce maîtresse de la collection du designer Philippe Charbonneaux. Le mythique camion Pathé-Marconi, qui servit de scène à tous les chanteurs français des années 50 et 60, en particulier lors de nombreuses éditions du Tour de France, est stationné à la Cité du train et sert pour des animations.
CAMION PATHE MARCONI
CAMION PATHE MARCONI
CAMION PATHE MARCONI
CAMION PATHE MARCONI
CAMION PATHE MARCONI
CAMION PATHE MARCONI
1949 : Pierre Bourgeois, président de Pathé-Marconi, donne son accord pour la commande d’un véhicule exceptionnel. 1952 : le camion baptisé « Superbus » est livré à la major française et remporte, en 1955, le grand prix du concours de la publicité qui roule. 1985 : revendu au Provençal puis au cirque Gulliver, le camion est sauvé in extremis de la casse par la famille Charbonneaux qui le rénove et l’expose à Reims. 2016 : le « Superbus » rejoint la Cité de l’auto à Mulhouse. Comme la longueur de cet engin, qui mesure également 2,30 m de large et 3,15 m de haut pour un poids de 12 tonnes. L’attelage comportait une table de mixage avec 125 boutons et manettes et 10 amplificateurs permettant l’émission et l’enregistrement, ainsi qu’une salle d’exposition du matériel Pathé-Marconi. Si vous voulez en savoir plus rendez-vous sur ce lien : http://cyclingmodel.over-blog.com/article-la-caravane-du-tour-de-france-a-80-ans-46-pathe-marconi-50150155.html

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TRACTEUR ENJAMBEUR

Publié le par le boulanger du 54

- C est le moment des récoltes

TRACTEUR ENJAMBEUR

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DELAHAYE 135

Publié le par le boulanger du 54

DELAHAYE 135

DELAHAYE 135 FIGONI & FALASCHI TORPEDO CABRIOLET - 1936

DELAHAYE est l’un des premiers constructeurs d’automobiles au monde. Si la marque automobile a vue le jour en 1894 à Tours, dans la ville natale de son créateur, la société du même nom existe depuis 1879.


Emile Delahaye, le créateur de la marque, est né en 1843. Ingénieur des Arts et Métiers, il est très inventif et d’un naturel curieux. Dès 1888, il entreprend la construction d’un moteur à combustion interne pour les bateaux. Deux ans plus tard il décide de l’appliquer à l’automobile.

C’est au salon de l’Automobile de Paris de 1894 que Delahaye dévoile sa première voiture. Avec un moteur arrière et un entrainement par courroie le véhicule affiche une puissance voisine de 1 cv.


Passionné par l’automobile qui est en plein essor, Emile Delahaye se lance dans la compétition, comme presque tous les constructeurs de l’époque. Il va même jusqu’à piloter ses propres voitures. Mais, sa santé précaire l’oblige à s’associer avec MM Morane et Desmarais pour diriger l’entreprise qui, du coup, se déplace à Paris. Une véritable « gamme » se développe : en 1898 Delahaye propose à ses clients un moteur monocylindre de 1,4 cv et des bicylindres de 4.5 et 6 cv. Et les acheteurs sont de plus en plus nombreux.


Malheureusement, Emile Delahaye doit quitter, en 1901, les rênes de l’entreprise qu’il a créée. Il mourra quatre années plus tard mais la marque continue et prospère même : les moteurs à 4 cylindres apparaissent. La 10B dispose d’un moteur de 2.2 litres de 9 ou 12 cv, mais le haut de gamme aura droit à un 4.9 litres de 28 cv. Les ventes à l’exportation s’organisent.


La Premiere guerre mondiale va interrompre cette croissance. L’entreprise se consacre à la fabrication de camions, de matériels incendie et de moteurs pour l’industrie lourde. Le retour à la construction automobile va être long et difficile. Grâce à des contrats d’association Delahaye sort, en 1928, un moteur 6 cylindres en deux versions 2.5 et 2.9 litres. Ce n’est qu’en 1930 que le lancement de plusieurs nouveaux véhicules, dont le modèle 126, annoncent le renouveau de la marque.


Delahaye rachète alors, en 1933, le constructeur Chaigneau-Brasier et s’oriente définitivement vers une production de luxe et de prestige. La participation de la marque aux grandes courses automobiles est alors incontournable. C’est la mythique 135 qui va donner à Delahaye son image : en 1934 une version équipée d’un moteur de 120 chevaux remporte, entre autre, les 24 Heures du Mans et le rallye de Monte-Carlo. La renommée de Delahaye est maintenant faite. Le rachat en 1935 de son concurrent Delage, ne fera que confirmer.


C’est à cette période que Delahaye choisit le carrossier Joseph Figoni à qui il confie 11 chassis « sport » pour réaliser un cabriolet de luxe. Figoni est quasiment au sommet de son art (l’année suivante il sortira le Talbot T150 teardrop qui, au dire des spécialistes est son chef d’œuvre. Voir notre article sur cette voiture). Innovation, élégance, originalité, tous les détails du cabriolet 135 ont été réalisés avec soin depuis le carénage des roues jusqu’à la forme des feux arrière.

Présenté à Paris en 1936, le 135 Torpédo cabriolet obtient, tout de suite, un vif succès. Les performances sont également hors normes : Le six cylindres en ligne de 3 557cc de cylindrée, alimenté par trois carburateurs Solex, développe 115 cv à 4 000 t/mns et permet au véhicule d’atteindre une vitesse de pointe de 160 km/h.


 

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